oscmnd-0006-0021

Manuscrits sur la question sociale
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AD 487.03-07: B 24/0

4 feuilles simples (photocopies, car l'original a été donne au St-Siège) dans une che­mise intitulée (de la main de L. Dehon: «Conférence aux séminaristes». (Au bas de la chemise.)

Mat. XIV. Le Christ et le peuple

les courants sociaux

Le ressort de la vie

l'Eglise de Satan

David et Goliath

espérances

=====Action sociale catholique L’illusion libérale

Les catholiques qui vont au peuple ne lui apportent pas seulement des conseils de résignation en vue des compensations d'une autre vie. Plus et mieux que tous les autres les catholiques prennent souci du bien tempo­rel de l'ouvrier… Nous voulons mettre fin à ses plaintes légitimes en ob­tenant pour lui ce qu'il réclame selon la justice… Toutefois il ne faut pas oublier que ce que l'on fera pour le bien-être de l'ouvrier sera toujours insuffisant, s'il n'est dirigé et soutenu par la foi et les espérances chré­tiennes. Sinon il ne se contentera jamais de ce qu'on fera pour lui. Il ver­ra toujours en face de lui quelque chose qui lui paraîtra préférable et sur quoi il étendra la main, si elle est assez forte pour le saisir et le garder.

Les injustices dont le peuple souffre, nous en cherchons le remède, tandis que les socialistes, les exploitent au profit des plus dangereuses chimères et des plus détestables passions.

( f. 2) Un grand progrès a été accompli en Angleterre dans le monde du travail par les associations, par les Trades-Unions, surtout dans la pro­vince du Lancashire.

La doctrine libérale d'Adam Smith et des Physiocrates avait été fune­ste. Ils enseignaient qu'il fallait laisser agir librement les lois naturelles, que l'individu devait être libre de poursuivre son intérêt. C'était la loi de l'égoïsme et de l'individualisme.

Les patrons exploitèrent cette doctrine de bonne foi, se croyant en rè­gle avec leur conscience. Leur but était de produire beaucoup à peu de frais. Le moyen de production est le travailleur. Il fallait donc lui impo­ser le salaire le plus réduit et le faire travailler jusqu'à la limite extrême de ses forces. Vingt heures de travail n'étaient pas une exception. Les femmes et les enfants supplantaient l'homme adulte à la fabrique. L'en­fant de 9 ans travaillait, on le frappait pour le tenir éveillé la nuit.

Le résultat, c'était la dégénérescence physique ( f.3) et morale de la nation. La femme mère, à 15 ans parfois, travaillait jusqu'au jour de l'accouchement. L'adulte était inapte au service militaire. L'homme grandissait comme une brute dans l'ignorance, la débauche, l'ivrogne­rie, sans famille, sans vie morale.

De là les révoltes d'un prolétariat sans espoir, les luttes sanglantes, les réunions secrètes où, la nuit on décrète le pillage, l'industrie vivant sous l'empire du terrorisme; l'antagonisme des classes arrivé au paroxysme de la violence.

Depuis quelle transformation! Le Lancashire, l'ancien réceptacle de toutes les misères et de toutes les haines est devenu le symbole de la paix sociale, la source de la prospérité anglaise. L'ouvrier anglais formé à la grande école des unions professionnelles est un type modèle de l'ouvrier moderne. Le corps fortifié par une nourriture substantielle, l'esprit culti­vé par la fréquentation des cours, des musées, des bibliothèques, le cœur formé par la vie de famille, il est devenu (une?) des forces du pays. ( f. 4) Cet ouvrier, qui était, il y a 60 ans, avili, haineux, plus malheu­reux que l'esclave romain, il faut le voir aujourd'hui siégeant à côté de l'industriel au comité de conciliation (joint committee). Là on discute pacifiquement le taux des salaires et les heures de travail. L'industriel apporte dans le débat la connaissance des besoins de la classe ouvrière: l'ouvrier connaît l'état du marché, les nécessités de l'industrie, les diffi­cultés d'administration.

Le rôle des chambres de conciliation s'étend et les grèves diminuent. Au lieu de la lutte par suite du contact des égoïstes, il y a entente par suite d'une communauté de vues fondée sur les réalités sociales… Nous pouvons faire mieux avec l'aide de la religion catholique, cette école par excellence de culture morale, de justice et de modération. On a compris maintenant que la résignation chrétienne, toujours nécessaire, ne doit pas tenir lieu de tout progrès social. Il faut revenir aussi de l'er­reur révolutionnaire qui a proclamé les droits de l'homme (sa)ns rappe­ler en même temps ses devoirs. Chaque classe a les siens et leur accom­plissement est la condition de la paix et du progrès social.

( + une feuille recto-verso, avec les citations, en latin et en français, de: Mt 14,15; Mc 6,35; Lc 9,12; Jn 6,5; 1 Tm 6,6)

AD 487.03: B 24/0

16 feuilles, dans une chemise intitulée «Notes, Conférence aux prêtres»

Sources; Mouvement social; Action du Clergé - Le Querdec; Tristes progrès; Action: le centre all. etc.; Objections - Rép. - état mental; Action de l'Eglise.

- La lettre pastorale de Mgr l'évêque de Liège, avec ses documents annexes, chez Dessain, éditeur à Louvain.

- Le clergé et le peuple catholique, par Lehmkuhl, Œuvre de St. Paul, 6 rue Cassette.

- Le prêtre et la situation actuelle de l'Eglise.

- Ibid. Biederlack - la question sociale.

- Le prêtre selon le Cœur de Jésus, Ibid.

- Le renouvellement de la paroisse, Ibid.

- Les réflexions de Mgr l'évêque de Montpellier à son clergé, Ibid.

- Le curé de campagne, par un homme d'œuvres. 8 rue François ler.

- P. Vermersch: les œuvres sociales.

- Organisations catholiques des campagnes. Ibid.

- P. Godts: Scopuli vitandi in tractanda questione sociali.

- Philosophie morale et sociale, par le P. de Pascal. chez Lethielleux. - Economie politique, par le P. Antoine, chez Guillaumin (9 f. 50). - Manuel social chrétien (l. F. 50), à la Croix, 8 rue François ler. - Liberatore: Principes d'économie politique (Oudin).

- La démocratie chrétienne - 6 f., rue Nicolas Leblanc 25, Lille.

- La chronique des Comités du Sud-Est, 10 quai Tilsitt, Lyon. 1. f. 50.

- La Sociologie chrétienne à Montpellier.

- L'association catholique.

- La paroisse de St. Paterne dans le passé et le présent, pr. l'abbé Surcin, chez Herlinson, Orléans.

- L'agriculture à l'école primaire, par un Frère de Ploermel, 1 f. - à la Croix.

- Leçons d'agriculture élémentaire, à l'usage des filles, 0,50. Ces deux vol. à la Chronique des comités à Lyon, 10, quai Tilsitt.

- (Principes d'économie politique, P. Liberatore, chez Oudin, 10 rue de Mézières, Paris - barré).

- Le Manuel des œuvres, de M. Chapelle.

- Le syndicat agricole paroissial, par Noël, 0.25.

- Rapport sur la situation agricole, id. id.

- Conférence sur les Caisses rurales, id. id. (Imprimerie des Appren­tis à Calais).

- Manuel des Caisses de famille (0.10) à la Croix.

Qu'est-ce qu'un mouvement social?

- C'est l'agitation d'une classe qui a pour but de transformer l'orga­nisation sociale existante en vue d'un idéal ou de ses intérêts. Pourquoi le mouvement ouvrier actuel?

- Parce que quatre siècles de réaction païenne nous ont donné un or­dre social profondément injuste et dur pour les petits, tant au point de vue politique qu'au point de vue économique.

( p. 2) (texte barré au crayon bleu)

Qu'est-ce qu'un mouvement social?

C'est l'ensemble des tendances (d'une classe - barré) et de l'action d'une classe qui ont pour but de transformer l'organisation sociale exi­stante d'une façon fondamentale et conforme aux intérêts de cette classe. (au bas de la p.: Sombart).

Deux antagonismes remplissent en fait toute l'histoire… antagonisme entre les classes, antagonisme entre les nations…

L'histoire de l'humanité est ou bien une lutte pour obtenir sa part de pâture, ou une lutte pour conquérir son territoire de pâture sur notre terre…

Quel est en fait le mouvement social actuel. Il est double, politique et économique.

Politique, il est une réaction contre le césarisme ramené par la Renais­sance.

Economique, il est une réaction contre l'économie sociale paganisée.

Ce mouvement est-il légitime?

Parfaitement, pourvu qu'il se tienne dans les limites de la légalité et de l'honnêteté.

Bien plus, comme nous sommes en présence de l'injustice la plus gra­ve du temps présent, l'injustice sociale, c'est le devoir des autres classes et notamment des catholiques d'encourager et d'aider le mouvement ou­vrier, et aussi de l'éclairer…

Quatre siècles de réaction païenne (couronnés - barré) nous ont donné un ordre social profondément injuste et dur pour les petits.

C'est le devoir de justice sociale qui est le plus méconnu à l'heure pré­sente, c'est lui qu'il faut prêcher avant tous les autres.

L'intensité de vie: la communication facile des idées; L'accroissement de l'instruction, des connaissances et par suite des exigences;

La nervosité actuelle;

Le révolutionnarisme (pour ainsi parler): mobilité dans toutes les for­mes de la vie: science, économie, art, moeurs. (Edison - Siemens). D'où la croyance facile à la possibilité de réaliser n'importe quelle organisa­tion future…

Action corporative et action politique Révolution ou évolution

Socialisme ou (prolétariat seul), démocratie (groupes agricoles et pe­tits bourgeois unis au prolétariat): dès lors on a un autre idéal que la pro­duction collective.

- L'organisation patronale n'en est pas moins légitime pourvu que le patron tienne compte de tous ses devoirs de justice, de charité, de respect de la dignité humaine des travailleurs. (voir Harmel: catéchisme du Patron).

Il dérive de l'école de Rousseau. Avec Saint-Simon, Charles Fourrier, Robert Owen, il croit à la bonté naturelle de l'homme et à l'organisation socialiste spontanée.

Ce qu'on appelle l'Economie classique maintient et explique le systè­me capitaliste. Tels Adam Smith et Ricardo.

D'autres demandent la réforme à l'idée chrétienne (Lamennais, Kingsley); à une idée morale (Sismondi, Thomas Carlyle); à une idée philanthropique: (Pierre Leroux, Grüm, Hess).

D'autres demandent un retour à l'organisation économique du Moyen-Age: Adam Müller, Léopold von Haller.

D'autres enfin demandent une organisation socialiste…

Depuis 1850.

Il admet l'organisation économique capitaliste.

Il l'atténue en fondant des caisses de secours, des coopératives, des syndicats.

Il n'atteint qu'une élite ouvrière.

A Londres, il y a 100.000 pauvres assistés. 1/5e des habitants meurt dans les maisons de charité ou hôpitaux.

Ils ont été aidés par le monopole industriel de l'Angleterre et par la lutte des partis. Les tories représentant surtout la gr. propriété favorisent les ouvriers contre les fabricants libéraux.

Les libéraux les favorisent depuis l'extension du suffrage pour avoir leurs voix.

Les trade-unions sont pratiques et dures pour les 4/5 d'outsiders…

Le régime chrétien aurait duré jusqu'à la fin du XVIIIe s. La grande coupable serait la Révolution.

C'est faux: le régime chrétien, politique et économique a été arrêté dans son développement aux XVe et XVIe s. Depuis lors, c'est le recul. La vraie révolution date du XVIe s. Celle de la fin du XVIIIe a été une réaction manquée: il faut la reprendre et la faire chrétienne.

Conc. Vat. - Constit. Dei Filius: «Tum nata est et late divulgata (post protestantes) illa naturalismi doctrina quae molitur ut, Christo a vita et moribus populorum excluso, merae rationis vel naturae regnum stabilia­tur…».

Il faut reconnaître la nécessité historique du mouvement social.

Le mouvement ouvrier est nécessaire et ne pouvait pas ne pas être. Il est aussi absurde de le nier par étroitesse d'esprit que de le combat­tre par des moyens impuissants.

Il ne faut pas sans motif crier à la lutte de classes. Tout syndicat, toute élection démocratique, toute grève est une lutte de classes.

Il faut que toute lutte soit légale et qu'elle soit honnête.

(XXV necnon in - barré)

- Rép. Depuis deux cents ans, la plupart de nos théologiens, quelque peu imbus sans s'en douter de gallicanisme, de libéralisme et de joséphinisme, avaient laissé les principes sociaux tomber dans un profond oubli, d'où Léon XIII est venu les tirer.

Aussi, depuis l'Encyclique Rerum Novarum, nous admirons l'arden­te émulation avec laquelle théologiens et philosophes catholiques refon­dent leurs traités de la Justice en les complétant.

- Rép. Aussi le socialisme fait des progrès rapides. - Que beaucoup de bons prêtres et d'excellents chrétiens continuent à nier la question so­ciale et à sourire de nos efforts, et dans dix ou quinze ans la société fran­çaise, sous l'autorité de la ( p. 2) (Commune de Paris - barré) Commune de Paris ou d'un Comité de Salut public, se verra imposer partout la de­struction des églises, le collectivisme économique, l'union libre et la coéducation en honneur à Cersepuis, avec les sanctions énergiques essayées jadis à la rue Haxo pour faire taire les récalcitrants.

- Rép. Certainement ils doivent se préparer, se former, agir prudemment. Quelques uns se tromperont… Un homme d'œuvres influent deman­dait audience au Pape pour le prier d'arrêter le zèle intempestif des j. prêtres.

Le St. Père répondit: «Je ne puis pas arrêter ce que j'ai commandé moi­même. Je veux que les prêtres se mettent aux œuvres sociales. S'ils se trompent au commencement, ils se formeront et se corrigeront ensuite».

Elle s'est toujours occupée des intérêts temporels, par esprit de justice, de charité, pour libérer les âmes des soucis du paupérisme.

Ex. Les diacres en Orient;

les diaconies à Rome;

les év. defensores civitatum;

la défense et direction temporelle de Rome;

formation des Etats; Conciles

organisation des communes: Urcignay…

- Toujours pour un but surnaturel.

- Si pendant un temps elle en a été empêchée, sa mission demeurait en puissance.

- Obstacles: Luther, l'humanisme, jansénisme, libéralisme, laïcisme; faux principe: laissez faire, laissez passer…

- L'Eglise recouvrera ses droits anciens;

- C'est la dernière crise d'un désordre de quatre siècles.

L'Eg. a le droit et le devoir de faire régner la justice chrétienne partout.

- La richesse n'est qu'un instrument au service de la vie morale. L' Eg. est une société parfaite qui embrasse indirectement toute la vie humaine et sociale.

( p. 2) - Elle doit tout sanctifier, le droit, la morale, les relations inter­nationales.

Elle avait élevé un magnifique édifice chrétien avec la vie communale, corporative, provinciale, nationale avec la grande république chrétienne qui englobait toutes les nations sous la direction du Vicaire de J. C.

- Nous sommes châtiés pour avoir chassé le Christ de partout depuis 4 siècles, des lettres, de la vie politique, de l'art. etc.

- Les protestants allem. et anglais (voulaient - barré) ne voulaient pas déchristianiser l'Europe mais seulement la décatholiciser. L'humanisme a fait plus; il a éloigné le Christ. Nous sommes arrivés au déisme au XVIIIe s. et maintenant au scepticisme, au matérialisme, au laïcisme.

Le laïcisme n'est pas une formule, vaine, c'est une formule scientifi­que. Il met l'homme à la place de Dieu.

- Il faut tout réformer, tout reprendre, tout ramener à l'Eg. au Souv. Pontife, au Christ.

- L'esprit nouveau ne doit pas être un opportunisme passager. - Sur quoi s'appuiera l'Eglise?

Les gouvernements? Non, ils sont révoltés.

Les aristocraties? Non, sauf quelques belles exceptions, elles sont im­bues des mêmes erreurs.

La bourgeoisie? Non, elle est gangrénée par le capitalisme. Il ne reste que le peuple, que le prêtre peut gagner.

- L'action du prêtre n'est donc pas nouvelle, elle n'est pas indiscrè­te, elle n'est pas imprudente.

- Le socialisme n'est pas seul une question d'estomac. C'est une question de morale, de justice, d'idéal.

Le peuple sait les injustices de l'aristocratie allem. qui a pris les biens de l'Egl.;

de l'aristocratie anglaise…

de la pression anglaise sur l'Irlande;

( p. 2) du capitalisme bourgeois…

- C'est aussi une question de dignité. Le peuple a gardé au cœur un sentiment de dignité chrétienne, d'honneur, d'humanité.

- C'est une question philosophique et théologique. Elle embrasse la fin de la société, des classes, etc.

- Les laïques en s'y associant font un acte du devoir moral et histori­que, un acte de prudence.

- Il s'agit de tout l'ordre social chrétien à rétablir… Si l'on parle de démocratie, c'est que dans l'ordre chrétien le devoir incombe à tous d'avoir un soin spécial des petits. L'Eg. n'exclut aucune forme du pou­voir, aucune classe sociale, elle honore la vraie aristocratie, mais elle garde une préférence pour les petits.

- Aller au peuple, non par peur du socialisme, mais par devoir.

- Rois, (Régaliens), nobles, bourgeois (capital.) se sont éloignés de l'Eg. et de ses lois. La science (orgueil) a dévié depuis 4 siècles. Il ne reste que le (simple) peuple uni au prêtre.

- Accepter cependant le concours des monarchistes et de la noblesse s'ils veulent bien s'unir à nous pour travailler au bien du peuple.

(feuille n. 16, recto - une petite feuille)

Déjà en 1851 Pie IX avait réuni une commission mixte (eccl. et laïque) pour l'étude et la reconstitution des corporations.

Mgr Pie 1871 mandant dans notre France privée d'institutions sociales, les (moind - barré) mécontentements deviennent facilement des révolu­tions.

AD 487.04: B 24/0

Les œuvres conf. au seminaire

7 feuilles simples + 1 feuille double dans une chemise intitulée de la main de L. De­hon: «L'éducation sacerdotale, Action sociale».

(Au bas de la chemise)

De lotis socialibus

Pie X - Civiltà

- Card. Gibbons

Mgr Pie, P. Aubry, Bourdaloue, Combalot, Boisgelin.

Il n'est rien de plus essentiel à un peuple que ses idées religieuses; or c'est dans le sanctuaire de l'éducation sacerdotale qu'elles ont leur raci­nes; c'est là en dernière analyse qu'il faut chercher le fond de la question so­ciale.

Il y a une corrélation étroite entre l'éducation sacerdotale et l'éduc. nationale, et parce que la formation philosophique et théol. du clergé de France a manqué généralement de fermeté et de solidité, nous voyons s'accentuer de jour en jour la diminution des notions dogmatiques, la ruine des convictions fortes, la perte du sens cath., le scepticisme, enfin l'incrédulité et la fermentation putride.

La doctrine sociale de l'Eg. avait pétri la société d'idées saines et préserva­trices et produit une législation chrétienne aussi parfaite que possible. - La prédication de l'Évangile, mais de l'Évangile sans diminution ni compromis­sion produirait les mêmes effets…

Mgr de Boisgelin, arch. d'Aix à la Constituante:

«La religion sera le premier intérêt du peuple, quand l'intérêt du peu­ple sera la loi des ministres de la religion».

Mgr Pie - 3e inst. synodale sur les erreurs du temps présent - 1862­-1863.

«Tandis que la presse impie et rationaliste proclame la sécularisation désormais absolue des lois, de l'éducation, du régime administratif, des relations internationales et de toute l'économie sociale, comme étant le fait et le principe dominant de la société nouvelle, de cette société éman­cipée de Dieu, du Christ et de l'Eglise, nous avons vu surgir, sous l'em­pire de préoccupations honnêtes et estimables, des adeptes inattendus de ce système nouveau… des chrétiens et des prêtres.

- Seconde instruction synodale 56-57 le laïcisme.

- Lettre des évêques des Gaules à Léon le G. - Ils déclarent être prêts à mourir avec lui pour la saine doctrine… VI.398.

a été un de nos missionnaires français les plus clairvoyants de ce siècle!

En 1850, il écrivait aux évêques de France pour leur signaler l'inaction du clergé et le péril de la démocratie païenne et sauvage que le clergé ne s'effor­ce pas de gagner.

«Tout ce qui s'accomplit dans le monde social s'est auparavant ac­compli dans le monde de l'intelligence…». 1835, Mélanges.

a suscité Lueger, le c.t Zichy Esterhazy - loue le P. Abele, condamne Weiss …

En 10 ans ils ont conquis la ville et le Landtag.

Mgr Schilner ou Fischer.

La société vit d'idées (de principes) et elle ne souffre et ne meurt que par l'altération des idées. Là où les idées sont saines, la vie morale est pleine de santé. Du jour où les idées s'altèrent, la société est en souffran­ce. «Quand on ne sait pas, quand on ne comprend pas, les fondements de la terre sont ébranlés».

Nescierunt neque intellexerunt, movebuntur omnia fundamenta ter­rae, Ps. 81.

Idem cives et sacerdotes Dei. (Lettre aux év. de Bavière, 11. 1830).

Grâce aux erreurs gallicane et libérale, le clergé, calfeutré dans la sacri­stie, s'était séparé de la grande masse populaire. Il était devenu, quant à l'action publique et sociale un sel affadi.

Ce reproche, nous n'oserions pas le faire de nous-mêmes; nous allons l'entendre de la bouche de Bourdaloue, du cardinal Pie, du cardinal Gibbons.

Nous entendrons même l'avertissement de nos ennemis.

=====Action sociale du prêtre Le devoir du clergé Le Pape

«Que chacun se mette à la tâche qui lui incombe, et cela sans délai, de peur qu'en différant le remède, on ne rende incurable un mal déjà si gra­ve. … Que les ministres sacrés déploient toutes les forces de leur âme et toutes les industries de leur zèle».

«Ce sont vos prêtres, disait Léon XIII à Mgr l'évêque de Liège, qu'il faut exhorter à aller au peuple; ils ne peuvent pas rester enfermés dans leurs églises et leurs presbytères…».

Il fait le procès à la tiédeur, à la lassitude, au découragement, dans un di­scours à l'assemblée diocésaine de Charleville (6 août 89). «Le prêtre qui a charge d'âmes ne peut plus se contenter d'exercer autour de lui son ministère or­dinaire, il doit (ajouté au crayon: Liège /paresseux, peureux/ Ketteler) (p. 2) se livrer à l'apostolat des œuvres, c'est à dire à cette forme spé­ciale d'action nécessitée par la force des choses et plus adapté aux diffi­cultés du temps…».

Il ne laisse pas non plus dormir ceux qu'il appelle lui-même les paresseux et les peureux. (Lettre past. p. 28) «S'il y a des hommes d'une initiative trop empressée, dit-il, il en est bien plus qui se laissent dominer soit par l'apathie, soit par des craintes exagérées et des frayeurs imaginaires. Il n'y a rien à faire, disent-ils, c'est irréalisable. Un prêtre qui voit ses ouailles se perdre ne doit pas facilement tranquilliser sa conscience sur de pareils motifs…».

Il se fâchait, il y a vingt ans déjà, quand on s'étonnait de le voir inter­venir dans ces questions. «Je n'ai pas seulement le droit, disait-il, j'ai en­core le devoir de suivre avec un vif intérêt les affaires du monde ouvrier…». (p. 3) Lorsque j'ai reçu la consécration épiscopale, l'Eglise m'a posé la question suivante: «Veux-tu être charitable et miséricordieux aux pauvres et à tous ceux qui souffrent, au nom de N.S.?». Représen­tant du Divin Maître, comment pourrais-je rester indifférent en face d'un problème qui touche aux besoins les plus essentiels d'une classe si nombreuse de la société?

Le devoir est le même pour les prêtres.

Lehmkuhl Biederlack Lebreton 1889«Les changements survenus dans la situation sociale et dans les dispositions des hommes, entraînent nécessairement un changement de procédés dans le soin des âmes. Ce serait pour un pasteur oublier entièrement son devoir que de ne pas établir et développer vigoureusement des associations dans sa paroisse…» (Le clergé et le peuple).

Ils ont décidé d'introduire l'étude des questions sociales dans leurs sé­minaires pour les motifs suivants:

1° Ces questions se rattachent aux traités du décalogue, de la justice et des contrats…

2° Elles sont entrées dans le programme des conférences ecclésiasti­ques…

3° Les Encycliques du Souverain Pontife en recommandent l'étude et en indiquent les principes…

4° Elles préoccupent l'attention des catholiques militants. Le clergé, appelé à (les - barré) diriger leurs efforts, a besoin d'avoir étudié ces que­stions.

P. Godts - Rédemptoriste

AD 487.05: B 24/0

8 feuilles simples, recto, intitulées: «Les droits de Dieu» (texte intégral)

I. Les droits de Dieu en lui-même.

Dieu a fait l'homme pour qu'il vive en société et qu'il y trouve sa per­fection.

La société, aussi bien que l'autorité qui en est le lien, procède de la na­ture et par suite a Dieu pour auteur. (p. 5)

La souveraineté n'est en soi liée à aucune forme politique. Elle peut s'adapter à toutes celles qui sont aptes à procurer le bien commun. Mais quelle que soit la forme de gouvernement, tous les chefs d'Etats doivent absolument avoir le regard fixé sur Dieu, souverain modérateur du monde. Ils sont les dépositaires de l'autorité divine et l'image de sa Providence. (p. 6)

La société politique étant dans son principe l'œuvre de Dieu doit rem­plir par un culte public ses devoirs envers Dieu. (p. 7)

Elle doit rendre grâces à Dieu de tous les biens qu'elle en a reçus. Elle doit embrasser la religion que Dieu a prescrite et que des preuves mani­festes établissent comme la seule vraie.

Les sociétés politiques ne peuvent sans crime se conduire comme si Dieu n'existait pas, ou se passer de la religion comme d'une chose inuti­le, ou en admettre une indifféremment selon leur bon plaisir. (p. 8)

Le peuple n'est donc pas la source de tout droit et de tout pouvoir.

(p. 9)

II. Les droits de Dieu dans son Eglise.

Des preuves nombreuses et éclatantes, la vérité des prophéties, la mul­titude des miracles, la prodigieuse célérité de la propagation de la foi en dépit des plus grands obstacles, le témoignage des martyrs et d'autres ar­guments semblables prouvent clairement que la seule vraie religion est celle que Jésus-Christ a instituée lui-même et qu'il a donnée à son Eglise la mission de garder et de propager. (p. 9)

L'Eglise a son but propre et ses moyens propres. Elle est surnaturelle et spirituelle dans ses moyens et dans sa fin. Elle est distincte des sociétés civi­les. Elle a une fin plus noble. Elle ne peut pas leur être assujettie. (p. 10)

C'est à l'Eglise et non à l'Etat qu'il appartient de guider les hommes vers les choses célestes. C'est à elle que Dieu a donné le mandat de connaître et de (feuille n. 4) décider de tout ce qui touche à la religion; d'enseigner toutes les nations, d'étendre aussi loin que possible les fron­tières du nom chrétien; bref, d'administrer librement et tout à sa guise les intérêts chrétiens. (p. 11)

Dieu a donc divisé le gouvernement du genre humain entre deux puis­sances: la puissance ecclésiastique et la puissance civile; celle-là préposée aux choses divines, celle-ci aux choses humaines. Chacune d'elles en son genre est souveraine. Elles ont leurs limites déterminées. (p. 12)

Ainsi, tout ce qui dans les choses humaines est sacré à un titre quel­conque, tout ce qui touche au salut des âmes et au culte de Dieu, soit par sa nature, soit par rapport à son but, tout cela est du ressort de l'autorité de l'Eglise. Quant aux autres choses qu'embrasse l'ordre civil et politi­que, il est juste qu'elles soient soumises à l'autorité civile, puisque J.-C. a recommandé de rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. (p. 13)

Toutefois l'autorité des deux puissances s'exerçant sur les mêmes su­jets, il peut arriver qu'une seule et même chose, à des titres différents, ressortisse à la juridiction et (à la puissance - barré) au jugement de l'une et l'autre puissance. Dans ce cas l'Eglise a une autorité supérieure à cau­se de l'excellence et de la noblesse de son but. Mais pour éviter les con­flits dans ces cas de matière mixtes, l'Eglise a coutume de les régler par des concordats. (p. 13)

L'Etat ne doit donc pas à toutes les religions la même égalité en droit. (p. 19)

Dans les matières de droit mixte, comme les mariages, les biens des clercs, l'Etat n'est pas indépendant. Il doit s'entendre avec l'Eglise. (p. 20) Il doit favoriser l'indépendance temporelle du Pape (id.).

III. Les droits de Dieu dans ses enfants.

Le commandement des chefs d'Etats doit être juste. C'est moins le gou­vernement d'un maître que d'un père. Il doit s'exercer pour l'avantage des ci­toyens; l'autorité civile ayant été constituée pour le bien commun ne doit servir sous aucun prétexte à l'avantage d'un seul ou de quelques-uns. (6)

Les chefs d'Etats doivent savoir qu'ils rendront compte à Dieu de leurs fonctions.

Les sujets, d'autre part, doivent reconnaître que l'autorité vient de Dieu. Ils doivent la respecter et lui obéir. Secouer l'obéissance et révolu­tionner la société par la sédition est un crime de lèse-majesté divine et humaine.

C'est le droit des citoyens d'être aidés par la société à atteindre leur fin. Les chefs d'Etats doivent donc favoriser la religion, la protéger de leur bienveil­lance, la couvrir de l'autorité (feuille n. 7) tutélaire des lois et ne rien sta­tuer ou décider qui soit contraire à son intégrité. La société civile a été établie en effet pour l'utilité de tous. (p. 8)

L'esprit chrétien assure la solidité et la sainteté du bien conjugal; l'honneur dû à la femme;

l'autorité du mari, tempérée par les égards dus à la femme et aux en­fants;

la protection due aux enfants et leur bonne éducation. (p. 15)

La liberté de tout dire et de tout écrire n'est pas de soi un bien dont la société ait à se féliciter; c'est plutôt la source et l'origine de beaucoup de maux. L'Etat s'écarte des prescriptions de la nature elle-même s'il favo­rise la licence à tel point qu'on puisse impunément détourner les esprits de la vérité et les âmes de la vertu. (p. 23)

La pratique de ce qu'on appelle les libertés modernes comme l'indifféren­ce de l'Etat, l'égalité absolue des cultes, la licence des opinions et de la presse, ne peut être qu'un bien relatif en comparaison d'une société ty­rannique et persécutrice de la religion. (p. 30)

L'Etat doit favoriser l'éducation chrétienne des enfants: - le développement économique du peuple;

la petite prospérité (ou: propriété) qui est la condition économique la plus favorable aux intérêts religieux, moraux et temporels des sujets.

AD 487.06: B 24/0

2 feuilles simples, intitulées «Les droits de l'homme; Législation présente» (texte intégral)

Il y a ceux de la Constituante 1789, ceux du code césarien 1804. Il y a ceux du décalogue. La 1re table donnait les droits de Dieu, la 2e - les droits de l'homme, enfants de Dieu.

J'aime mieux ceux du décalogue.

J'ai plus de garantie pour l'intelligence du législateur, pour son im­partialité, pour la justice de la sanction.

Chez les autres je trouve: intelligence limitée, partialité injuste, sanc­tion brutale.

Ceux de 89 diminuaient Dieu et amoindrissaient l'autorité; ils arrivaient à la sanction de la guillotine. Ils restreignaient les droits du peuple.

Le césar de 1804 avait en vue de diminuer les droits de Dieu:

«Je ne veux pas, disait-il que le vieillard du Vatican détienne les âmes et ne me laisse que les corps». Il voulait une religion nationale. Il se contente d'un concordat écrasant. Il y joint les articles organiques et les codes.

Il diminue aussi les droits du peuple.

Il impose le bâillon à l'Eglise et la mort à toutes les assoc. libres, à tou­tes les initiatives fécondes.

- Les vrais droits de l'homme sont ceux du décalogue, admirabl.t commentés par l'Eg. et spécialement par Léon XIII. Ils défendent la li­berté du peuple, son dimanche, sa famille (4 con.) son (? - un morceau qui manque), ses moeurs, son salaire…

Loi de 1884. - Elle n'avait pas un but libéral et populaire, mais un

but électoral.

Les syndicats agricoles n'étaient pas visés. Un député du jura jeta ce mot «agricole» pendant la discussion, et il passa par surprise.

La loi permet la propriété mobilière qui nous donné du papier et laisse l'argent aux mains des juifs. Elle n'autorise pas la propriété foncière. Nos Cies de ch.de, fer ont des tarifs de faveur pour les grandes quanti­tés, par ex. 5 f. par quintal de blé. Les accapareurs peuvent donc tout en gagnant plus) que le petit marchand écraser le producteur…

AD 487.07: B 24/0

Une lettre du card. Rampolla, en remerciement de l'envoi des les politiques et sociales» (texte intégral, italien)

N° 41.445

Rev.mo Padre

Con piacere ho deposto nelle venerate mani del Santo Padre uno degli esemplari, che V. P. mi ha fatto rimettere del suo nuovo lavoro intitola­to: «I es directions pontificales politiques et sociales». Sua Santità ha vivamen­te gradito l'omaggio della P.V. ed ha lodato il fine, che Ella si è propo­sto, di affrettare l'unione e la concordia dei Cattolici francesi, facendo meglio comprendere l'importanza e l'estensione delle norme tracciate dalla Santità Sua. Nel commettermi quindi di ringraziarla del suindicato omaggio, il Santo Padre si è degnato impartire a V. S. una speciale bene­dizione che La conforti a proseguire gli studi delle questioni sociali.

Rinnoverandole i miei particolari ringraziamenti per la copia del suo recente lavoro a me cortesemente offerta, godo raffermarmi con sincera stima.

Di V. P. Rev.ma, aff.mo nel Signore

M. Card. Rampolla

Rev.mo P. Leone Dehon

Superiore dei Preti del S. Cuore di Gesù - Roma

AD 741.61: B 44/4

Compte rendu du «Manuel social chrétien « paru dans «Osservatore Romano» n. 158, du 12-13 juillet 1895, (texte intégral).

Bibliografia

Manuel social chrétien, rédigé par la Commission d'Etudes sociales du Diocèse de Soissons, sous la présidence de M. le chanoine Dehon et pu­blié avec l'approbation de S.G. l'Evêque de Soissons.

In questi nostri tempi, in cui tanti uomini di valore si danno allo stu­dio di quel grande problema, che è la questione sociale, nulla di più utile di questo Manuale che ci presenta un illustre ecclesiastico francese, il si­gnor Canonico Dehon, Superiore Generale dei Preti del Cuor di Gesù.

Il libro è diviso in due parti: nella prima l'autore esamina la questione sociale nelle sue origini, nelle sue manifestazioni, nei suoi effetti; nella seconda propone i rimedi a questa malattia della società moderna, trat­tando delle opere sociali.

«Bisogna andare al popolo - egli scrive. Questa parola è di Leone XIII. Essa s'impone a noi per l'autorità di chi l'ha pronunziata, e per la sua verità intrinseca.

Bisogna andare al popolo, perché esso si smarrisce, perché esso s'in­ganna, perché esso viene ingannato, perché esso è indotto in errore da uomini fuorviati o perversi, che gl'ispirano le dottrine più funeste.

Bisogna andare al popolo, perché esso è infelice, perché soffre, perché trovasi in uno stato di miseria immeritata; perché esso è senza appoggio, non avendo più le antiche corporazioni. Ma come si deve andare a lui?».

E qui l'autore prende ad esporre il come si debba andare al popolo, di onde cominciare, come procedere; e prende a ragionare successivamente delle corporazioni, della buona stampa, delle casse e dei circoli rurali, degli economati e delle cooperative, delle casse di famiglia, dei circoli cristiani di studi sociali, dei congressi operai, del Terz'Ordine di S. Francesco, del patronato dei giovanotti, della Confraternita delle Madri Cristiane, delle scuole cristiane libere; terminando il suo lavoro con esempi pratici di ciò che si è fatto e si fa in più dalla classe operaia nei grandi stabilimenti di filatura del Signor Vrau a Lilla, dei Signori Har­mel a Val-des-Bois, ed altrove.

Chiuderemo questo breve accenno col giudizio che del lavoro del Si­gnor Canonico Dehon hanno dato due illustri personaggi ecclesiastici. «Voi avete fatto sulla questione sociale - scrive l'E.mo Cardinale Langénieux, Arcivescovo di Reims - un'opera delle più coscienziose e delle più utili… Io son persuaso, che, dopo averla letta, si avranno, sui problemi, che attualmente si agitano, nozioni più esatte, perché esse sa­ranno più conformi agli insegnamenti di Leone XIII, dei quali voi avete fatto la base del vostro lavoro. Io pertanto non esito a farvene le più sin­cere felicitazioni, augurando la maggior diffusione al vostro Manuale». E Monsignor Vescovo di Soissons scrive a sua volta­

«Io vi felicito di tutto cuore per questo lavoro, che suppone grandi e profonde letture su tutto ciò che riguarda la questione sociale.

Sarà esso un utile repertorio d'informazioni per tutti coloro che si oc­cupano di questa importante questione e che hanno a difendere la verità contro le dottrine socialiste, che si vanno diffondendo nelle campagne».

Dopo questi attestati, che partono da persone sì alte e sì autorevoli, ogni ulteriore encomio sarebbe superfluo.

Mis. Cesare Crispolti - Via Ripetta 226, Roma

N.B. Pour les citations du card. Langémeux et de l'év. de Soissons, cf. l'original français, dans: Dehon L., Œuvres Sociales, vol. II, p. X-XI.

AD 741.63: B 44/4

Résolutions du congrès franciscain tenu à Paray-le-Monial en 1894 (Fragments); Lettre de Léon XIII au P. Jules à la suite du congrès de Paray-le-Monial. - Photo­copies.

AD 55.10: B 8/15

Quelques pages en photocopie de la traduction en magyar de: Dehon L., Le Plan de la Franc-Maçonnerie (la page de titre; p. 1: lettre en français du P. Dehon au traducteur, Buday Janos; pp. 87-88: Table des matiè­res).

AD 1008.03: B 80/1

Invitation à assister à deux conférences du P. Dehon à Rome (21 et 28 avril) - Pho­tocopie.

AD 879.09: B 63/1-G

+ 886.00

Une feuille, recto-verso (texte intégral)

Conf. Prép. -Du travail
2e Conf. prép.:Etude de la religion
1re Conf. -Le péril social
2e Conf. -L'athéisme
3e Conf. -Le Panthéisme
4e Conf. -Le Dieu personnel - preuve physique
5e Conf. -preuve morale
6e Conf. -preuve métaphysique = fausses preuves = l'Ontologi­sme

Le positivisme, ses effets, sa doctrine:

7e Conf. - le positivisme

	péril - p. 17; doctrine - 37-39; les chefs - 50; ajouter les //al­lemands - //Vr
	Les anglais et américains = v. revue des 2 mondes = 15 déc. 75.
		Leurs principes = 71 
		L'ensemble de leurs erreurs - 74

Les erreurs scientifiques du positivisme:

8e Conf.

L'origine des choses selon Littré - 143; About - id.; Renan -147;

L'atomisme - 154; Le Darwinisme - 159 et Revue des 2 mondes 15 déc.;

Le mouvement = object. - 190.

9e Conf. Erreurs scientifiques = réfutation

10e Conf. - Le positivisme et son influence sur les lettres et les arts.

11e Conf. - Le positivisme et la famille (Monsabré)

12e Conf. - La société et la famille.

AD 71.11: B 9/17.C.11

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